CRÉATIONS ARTISTIQUES
Entre-Lacs adopte une dimension transfrontalière, et les différents artistes que vous retrouverez en création seront programmés prochainement, et dont les œuvres resteront exposées sur la chaîne des lacs villeneuvois.
Thomas Corbisier utilise le saule et d’autres matières végétales pour faire des tressages et construire des œuvres in situ. Utilisant des tresses de départ, elles lui permettent, tel un dessinateur, de tracer des lignes, des courbes, des formes pour épouser l’espace qui l’entoure afin de construire une œuvre en volume.
Sara Molon est artiste, professeur, animatrice et possède encore d’autres cordes à son arc. Elle pratique notamment la danse aérienne, ce qui lui a permis de combiner son attrait pour les hauteurs et le rythme. Ces dernières années, elle s’est consacrée à la corde lisse : à la recherche d’un dialogue entre équilibre et force, immobilité et mouvement.
Le duo d’artistes construit, au sein du parc du Héron, une structure en saule avec une intention claire : travailler en suspension en se déplaçant dans l’arbre. L’oeuvre qui tend vers l’eau devient une forme qui se fraie un chemin entre les branches en quête d’eau, la frôlant du bout de ses rameaux. Cette extrémité vient battre, du bout d’un ultime rameau, la surface du lac pour créer des ondes.
Thomas Corbisier utilise le saule et d’autres matières végétales pour faire des tressages et construire des œuvres in situ. Utilisant des tresses de départ, elles lui permettent, tel un dessinateur, de tracer des lignes, des courbes, des formes pour épouser l’espace qui l’entoure afin de construire une œuvre en volume.
Sara Molon est artiste, professeur, animatrice et possède encore d’autres cordes à son arc. Elle pratique notamment la danse aérienne, ce qui lui a permis de combiner son attrait pour les hauteurs et le rythme. Ces dernières années, elle s’est consacrée à la corde lisse : à la recherche d’un dialogue entre équilibre et force, immobilité et mouvement.
Le duo d’artistes construit, au sein du parc du Héron, une structure en saule avec une intention claire : travailler en suspension en se déplaçant dans l’arbre. L’oeuvre qui tend vers l’eau devient une forme qui se fraie un chemin entre les branches en quête d’eau, la frôlant du bout de ses rameaux. Cette extrémité vient battre, du bout d’un ultime rameau, la surface du lac pour créer des ondes.
Thomas Corbisier utilise le saule et d’autres matières végétales pour faire des tressages et construire des œuvres in situ. Utilisant des tresses de départ, elles lui permettent, tel un dessinateur, de tracer des lignes, des courbes, des formes pour épouser l’espace qui l’entoure afin de construire une œuvre en volume.
Sara Molon est artiste, professeur, animatrice et possède encore d’autres cordes à son arc. Elle pratique notamment la danse aérienne, ce qui lui a permis de combiner son attrait pour les hauteurs et le rythme. Ces dernières années, elle s’est consacrée à la corde lisse : à la recherche d’un dialogue entre équilibre et force, immobilité et mouvement.
Le duo d’artistes construit, au sein du parc du Héron, une structure en saule avec une intention claire : travailler en suspension en se déplaçant dans l’arbre. L’oeuvre qui tend vers l’eau devient une forme qui se fraie un chemin entre les branches en quête d’eau, la frôlant du bout de ses rameaux. Cette extrémité vient battre, du bout d’un ultime rameau, la surface du lac pour créer des ondes.
Thomas Corbisier utilise le saule et d’autres matières végétales pour faire des tressages et construire des œuvres in situ. Utilisant des tresses de départ, elles lui permettent, tel un dessinateur, de tracer des lignes, des courbes, des formes pour épouser l’espace qui l’entoure afin de construire une œuvre en volume.
Sara Molon est artiste, professeur, animatrice et possède encore d’autres cordes à son arc. Elle pratique notamment la danse aérienne, ce qui lui a permis de combiner son attrait pour les hauteurs et le rythme. Ces dernières années, elle s’est consacrée à la corde lisse : à la recherche d’un dialogue entre équilibre et force, immobilité et mouvement.
Le duo d’artistes construit, au sein du parc du Héron, une structure en saule avec une intention claire : travailler en suspension en se déplaçant dans l’arbre. L’oeuvre qui tend vers l’eau devient une forme qui se fraie un chemin entre les branches en quête d’eau, la frôlant du bout de ses rameaux. Cette extrémité vient battre, du bout d’un ultime rameau, la surface du lac pour créer des ondes.
Artiste pluridisciplinaire belge, formée en scénographie à La Cambre, Nathalie Maufroy est d’abord tour à tour scénographe, costumière, régisseuse ou accessoiriste. Son travail artistique s’étend aujourd’hui de la performance à l’installation et de la sculpture à l’art numérique. Au cœur de sa recherche artistique, émane un corps morcelé, une (con)fusion entre l’humain et l’animal. La relation de l’humain à l’intime est traitée avec dérision. Le quotidien est constamment revisité, l’évocation de la peau, du toucher et des différents sens en général dans ses œuvres montrent le lien qu’entretient le corps avec l’espace dans lequel il évolue. Elle est à la recherche d’un trouble, d’un décalage, pour faire naître l’étrange ou l’absurde.
Pour l’édition Entre-lacs, l’artiste présente une sculpture urbaine éphémère. Des jambes de plongeuse comme figées en plein plongeon à la surface de l’eau habilleront le lac du Héron. Cette œuvre rentre dans son projet de recherche intitulé Gargoyles, qui porte sur le corps fragmenté mêlé à l’architecture.
Artiste pluridisciplinaire belge, formée en scénographie à La Cambre, Nathalie Maufroy est d’abord tour à tour scénographe, costumière, régisseuse ou accessoiriste. Son travail artistique s’étend aujourd’hui de la performance à l’installation et de la sculpture à l’art numérique. Au cœur de sa recherche artistique, émane un corps morcelé, une (con)fusion entre l’humain et l’animal. La relation de l’humain à l’intime est traitée avec dérision. Le quotidien est constamment revisité, l’évocation de la peau, du toucher et des différents sens en général dans ses œuvres montrent le lien qu’entretient le corps avec l’espace dans lequel il évolue. Elle est à la recherche d’un trouble, d’un décalage, pour faire naître l’étrange ou l’absurde.
Pour l’édition Entre-lacs, l’artiste présente une sculpture urbaine éphémère. Des jambes de plongeuse comme figées en plein plongeon à la surface de l’eau habilleront le lac du Héron. Cette œuvre rentre dans son projet de recherche intitulé Gargoyles, qui porte sur le corps fragmenté mêlé à l’architecture.
Artiste pluridisciplinaire belge, formée en scénographie à La Cambre, Nathalie Maufroy est d’abord tour à tour scénographe, costumière, régisseuse ou accessoiriste. Son travail artistique s’étend aujourd’hui de la performance à l’installation et de la sculpture à l’art numérique. Au cœur de sa recherche artistique, émane un corps morcelé, une (con)fusion entre l’humain et l’animal. La relation de l’humain à l’intime est traitée avec dérision. Le quotidien est constamment revisité, l’évocation de la peau, du toucher et des différents sens en général dans ses œuvres montrent le lien qu’entretient le corps avec l’espace dans lequel il évolue. Elle est à la recherche d’un trouble, d’un décalage, pour faire naître l’étrange ou l’absurde.
Pour l’édition Entre-lacs, l’artiste présente une sculpture urbaine éphémère. Des jambes de plongeuse comme figées en plein plongeon à la surface de l’eau habilleront le lac du Héron. Cette œuvre rentre dans son projet de recherche intitulé Gargoyles, qui porte sur le corps fragmenté mêlé à l’architecture.
Artiste pluridisciplinaire belge, formée en scénographie à La Cambre, Nathalie Maufroy est d’abord tour à tour scénographe, costumière, régisseuse ou accessoiriste. Son travail artistique s’étend aujourd’hui de la performance à l’installation et de la sculpture à l’art numérique. Au cœur de sa recherche artistique, émane un corps morcelé, une (con)fusion entre l’humain et l’animal. La relation de l’humain à l’intime est traitée avec dérision. Le quotidien est constamment revisité, l’évocation de la peau, du toucher et des différents sens en général dans ses œuvres montrent le lien qu’entretient le corps avec l’espace dans lequel il évolue. Elle est à la recherche d’un trouble, d’un décalage, pour faire naître l’étrange ou l’absurde.
Pour l’édition Entre-lacs, l’artiste présente une sculpture urbaine éphémère. Des jambes de plongeuse comme figées en plein plongeon à la surface de l’eau habilleront le lac du Héron. Cette œuvre rentre dans son projet de recherche intitulé Gargoyles, qui porte sur le corps fragmenté mêlé à l’architecture.
Lien Van Dereun, artiste designeuse d’objets, est identifiable pour ses différentes installations de mobilier, d’espace et parfois de graphisme. Son travail est intuitif et va au-delà de la fonctionnalité. Elle aime repousser les limites conceptuellement, ainsi que dans les formes et les matériaux. Son travail est souvent inséré dans l’espace public. Elle invite également les passants à participer et à s’approprier ses oeuvres.
Borders do not exist est une construction en acier, très fine et fragile mais statique, placée dans l’eau, ondulant d’une rive à l’autre, comme une frontière nationale. Accrochés à la construction, des chiffons réfléchissants qui bougent avec l’air et le vent et sur lesquels la lumière brille et se reflète. Ces toiles réfléchissantes reflètent des vies en mouvement. L’eau tente d’atteindre l’autre côté de la bordure et ondule dans les ouvertures. Finalement, cette frontière n’en est pas complètement une. C’est également une porte ouverte sur une autre rive.
Lien Van Dereun, artiste designeuse d’objets, est identifiable pour ses différentes installations de mobilier, d’espace et parfois de graphisme. Son travail est intuitif et va au-delà de la fonctionnalité. Elle aime repousser les limites conceptuellement, ainsi que dans les formes et les matériaux. Son travail est souvent inséré dans l’espace public. Elle invite également les passants à participer et à s’approprier ses oeuvres.
Borders do not exist est une construction en acier, très fine et fragile mais statique, placée dans l’eau, ondulant d’une rive à l’autre, comme une frontière nationale. Accrochés à la construction, des chiffons réfléchissants qui bougent avec l’air et le vent et sur lesquels la lumière brille et se reflète. Ces toiles réfléchissantes reflètent des vies en mouvement. L’eau tente d’atteindre l’autre côté de la bordure et ondule dans les ouvertures. Finalement, cette frontière n’en est pas complètement une. C’est également une porte ouverte sur une autre rive.
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Lien Van Dereun, artiste designeuse d’objets, est identifiable pour ses différentes installations de mobilier, d’espace et parfois de graphisme. Son travail est intuitif et va au-delà de la fonctionnalité. Elle aime repousser les limites conceptuellement, ainsi que dans les formes et les matériaux. Son travail est souvent inséré dans l’espace public. Elle invite également les passants à participer et à s’approprier ses oeuvres.
Borders do not exist est une construction en acier, très fine et fragile mais statique, placée dans l’eau, ondulant d’une rive à l’autre, comme une frontière nationale. Accrochés à la construction, des chiffons réfléchissants qui bougent avec l’air et le vent et sur lesquels la lumière brille et se reflète. Ces toiles réfléchissantes reflètent des vies en mouvement. L’eau tente d’atteindre l’autre côté de la bordure et ondule dans les ouvertures. Finalement, cette frontière n’en est pas complètement une. C’est également une porte ouverte sur une autre rive.
Marc Limousin, artiste plasticien, vit à Annecy et participe régulièrement à des expositions dédiées au Land Art. Son travail est conduit par les sens. Sa pratique artistique est pluridisciplinaire et s’articule autour de la place de l’être humain dans son temps et son environnement.
Keep an Eye Out est une installation gonflable de 9 paires d’yeux. Avec son oeuvre, l’artiste nous invite à réfléchir au regard que nous portons sur la nature. Son installation inverse notre position subjective et le lac semble nous fixer et nous suivre du regard. Qui regarde qui ? Les neufs paires d’yeux nous rappellent que nous sommes en permanence surveillés dans notre quotidien par un regard, une vision artificielle ou naturelle.
Marc Limousin, artiste plasticien, vit à Annecy et participe régulièrement à des expositions dédiées au Land Art. Son travail est conduit par les sens. Sa pratique artistique est pluridisciplinaire et s’articule autour de la place de l’être humain dans son temps et son environnement.
Keep an Eye Out est une installation gonflable de 9 paires d’yeux. Avec son oeuvre, l’artiste nous invite à réfléchir au regard que nous portons sur la nature. Son installation inverse notre position subjective et le lac semble nous fixer et nous suivre du regard. Qui regarde qui ? Les neufs paires d’yeux nous rappellent que nous sommes en permanence surveillés dans notre quotidien par un regard, une vision artificielle ou naturelle.
Marc Limousin, artiste plasticien, vit à Annecy et participe régulièrement à des expositions dédiées au Land Art. Son travail est conduit par les sens. Sa pratique artistique est pluridisciplinaire et s’articule autour de la place de l’être humain dans son temps et son environnement.
Keep an Eye Out est une installation gonflable de 9 paires d’yeux. Avec son oeuvre, l’artiste nous invite à réfléchir au regard que nous portons sur la nature. Son installation inverse notre position subjective et le lac semble nous fixer et nous suivre du regard. Qui regarde qui ? Les neufs paires d’yeux nous rappellent que nous sommes en permanence surveillés dans notre quotidien par un regard, une vision artificielle ou naturelle.
Marc Limousin, artiste plasticien, vit à Annecy et participe régulièrement à des expositions dédiées au Land Art. Son travail est conduit par les sens. Sa pratique artistique est pluridisciplinaire et s’articule autour de la place de l’être humain dans son temps et son environnement.
Keep an Eye Out est une installation gonflable de 9 paires d’yeux. Avec son oeuvre, l’artiste nous invite à réfléchir au regard que nous portons sur la nature. Son installation inverse notre position subjective et le lac semble nous fixer et nous suivre du regard. Qui regarde qui ? Les neufs paires d’yeux nous rappellent que nous sommes en permanence surveillés dans notre quotidien par un regard, une vision artificielle ou naturelle.
Frédérique Rheims, artiste pluridisciplinaire, passant de la sculpture céramique aux installations de Land Art. Il est question de métamorphose et de transformation dans son travail artistique, il s’agit d’une quête de l’imprévu et de l’impermanence, de la vérité profonde au-delà de la conscience de soi.
Sophie Renard, artiste céramiste travaille l’argile et la porcelaine. Elle s’intéresse au corps dans ses créations. Dans sa pratique, elle aime jouer avec cette matière, la suivre, découvrir avec elle d’autres chemins et lui donner corps.
Pour l’édition Entre-lacs, ce duo d’artistes propose une rencontre avec Les esprits de l’eau, petits êtres malicieux, invisibles au monde des visibles. Ces esprits joueurs jaillissent de l’eau, recouverts de vase et de terre pour se dévoiler vivants. Ils sont travaillés avec la terre de la chaîne des lacs. Cette installation soulève des questions universelles et tente d’explorer le lien avec l’invisible. Elle tente de nous relier à la tradition de l’art primitif et tribal : des formes massives et un travail de surface brut.
Frédérique Rheims, artiste pluridisciplinaire, passant de la sculpture céramique aux installations de Land Art. Il est question de métamorphose et de transformation dans son travail artistique, il s’agit d’une quête de l’imprévu et de l’impermanence, de la vérité profonde au-delà de la conscience de soi.
Sophie Renard, artiste céramiste travaille l’argile et la porcelaine. Elle s’intéresse au corps dans ses créations. Dans sa pratique, elle aime jouer avec cette matière, la suivre, découvrir avec elle d’autres chemins et lui donner corps.
Pour l’édition Entre-lacs, ce duo d’artistes propose une rencontre avec Les esprits de l’eau, petits êtres malicieux, invisibles au monde des visibles. Ces esprits joueurs jaillissent de l’eau, recouverts de vase et de terre pour se dévoiler vivants. Ils sont travaillés avec la terre de la chaîne des lacs. Cette installation soulève des questions universelles et tente d’explorer le lien avec l’invisible. Elle tente de nous relier à la tradition de l’art primitif et tribal : des formes massives et un travail de surface brut.
Frédérique Rheims, artiste pluridisciplinaire, passant de la sculpture céramique aux installations de Land Art. Il est question de métamorphose et de transformation dans son travail artistique, il s’agit d’une quête de l’imprévu et de l’impermanence, de la vérité profonde au-delà de la conscience de soi.
Sophie Renard, artiste céramiste travaille l’argile et la porcelaine. Elle s’intéresse au corps dans ses créations. Dans sa pratique, elle aime jouer avec cette matière, la suivre, découvrir avec elle d’autres chemins et lui donner corps.
Pour l’édition Entre-lacs, ce duo d’artistes propose une rencontre avec Les esprits de l’eau, petits êtres malicieux, invisibles au monde des visibles. Ces esprits joueurs jaillissent de l’eau, recouverts de vase et de terre pour se dévoiler vivants. Ils sont travaillés avec la terre de la chaîne des lacs. Cette installation soulève des questions universelles et tente d’explorer le lien avec l’invisible. Elle tente de nous relier à la tradition de l’art primitif et tribal : des formes massives et un travail de surface brut.
Frédérique Rheims, artiste pluridisciplinaire, passant de la sculpture céramique aux installations de Land Art. Il est question de métamorphose et de transformation dans son travail artistique, il s’agit d’une quête de l’imprévu et de l’impermanence, de la vérité profonde au-delà de la conscience de soi.
Sophie Renard, artiste céramiste travaille l’argile et la porcelaine. Elle s’intéresse au corps dans ses créations. Dans sa pratique, elle aime jouer avec cette matière, la suivre, découvrir avec elle d’autres chemins et lui donner corps.
Pour l’édition Entre-lacs, ce duo d’artistes propose une rencontre avec Les esprits de l’eau, petits êtres malicieux, invisibles au monde des visibles. Ces esprits joueurs jaillissent de l’eau, recouverts de vase et de terre pour se dévoiler vivants. Ils sont travaillés avec la terre de la chaîne des lacs. Cette installation soulève des questions universelles et tente d’explorer le lien avec l’invisible. Elle tente de nous relier à la tradition de l’art primitif et tribal : des formes massives et un travail de surface brut.
Il y a une vingtaine d’années, Engels Trudo a créé un collectif composé de 24 artistes. Au fil des années, le groupe s’est développé en collectif d’artistes à part entière qui régulièrement exposent, publient et montent ensemble divers projets publics.
Lors d’un voyage dans le sud de l’Europe, Various Artists a été confronté à des scènes de paysages complètement modifiés par la construction de barrages hydroélectriques. Pour Entre-lacs, les artistes présenteront six aquariums semblant flotter sur le lac afin de recréer l’image d’oliveraies noyées et nous confronter à l’impact extrême que la culture peut avoir sur la nature. Ces aquariums remplis d’eau contiennent un micro-paysage naturel, avec au centre un bonsaï. Le niveau d’eau virtuel augmenté joue topographiquement avec l’idée de la construction de barrages à des fins financières. Cette œuvre est également une métaphore de l’élévation du niveau des mers causée par le réchauffement climatique et de son impact sur notre planète et ses habitants, humains ou non.
Il y a une vingtaine d’années, Engels Trudo a créé un collectif composé de 24 artistes. Au fil des années, le groupe s’est développé en collectif d’artistes à part entière qui régulièrement exposent, publient et montent ensemble divers projets publics.
Lors d’un voyage dans le sud de l’Europe, Various Artists a été confronté à des scènes de paysages complètement modifiés par la construction de barrages hydroélectriques. Pour Entre-lacs, les artistes présenteront six aquariums semblant flotter sur le lac afin de recréer l’image d’oliveraies noyées et nous confronter à l’impact extrême que la culture peut avoir sur la nature. Ces aquariums remplis d’eau contiennent un micro-paysage naturel, avec au centre un bonsaï. Le niveau d’eau virtuel augmenté joue topographiquement avec l’idée de la construction de barrages à des fins financières. Cette œuvre est également une métaphore de l’élévation du niveau des mers causée par le réchauffement climatique et de son impact sur notre planète et ses habitants, humains ou non.
Il y a une vingtaine d’années, Engels Trudo a créé un collectif composé de 24 artistes. Au fil des années, le groupe s’est développé en collectif d’artistes à part entière qui régulièrement exposent, publient et montent ensemble divers projets publics.
Lors d’un voyage dans le sud de l’Europe, Various Artists a été confronté à des scènes de paysages complètement modifiés par la construction de barrages hydroélectriques. Pour Entre-lacs, les artistes présenteront six aquariums semblant flotter sur le lac afin de recréer l’image d’oliveraies noyées et nous confronter à l’impact extrême que la culture peut avoir sur la nature. Ces aquariums remplis d’eau contiennent un micro-paysage naturel, avec au centre un bonsaï. Le niveau d’eau virtuel augmenté joue topographiquement avec l’idée de la construction de barrages à des fins financières. Cette œuvre est également une métaphore de l’élévation du niveau des mers causée par le réchauffement climatique et de son impact sur notre planète et ses habitants, humains ou non.
Il y a une vingtaine d’années, Engels Trudo a créé un collectif composé de 24 artistes. Au fil des années, le groupe s’est développé en collectif d’artistes à part entière qui régulièrement exposent, publient et montent ensemble divers projets publics.
Lors d’un voyage dans le sud de l’Europe, Various Artists a été confronté à des scènes de paysages complètement modifiés par la construction de barrages hydroélectriques. Pour Entre-lacs, les artistes présenteront six aquariums semblant flotter sur le lac afin de recréer l’image d’oliveraies noyées et nous confronter à l’impact extrême que la culture peut avoir sur la nature. Ces aquariums remplis d’eau contiennent un micro-paysage naturel, avec au centre un bonsaï. Le niveau d’eau virtuel augmenté joue topographiquement avec l’idée de la construction de barrages à des fins financières. Cette œuvre est également une métaphore de l’élévation du niveau des mers causée par le réchauffement climatique et de son impact sur notre planète et ses habitants, humains ou non.
Scenocosme réunit Grégory Lasserre et Anaïs met den Ancxt. Artistes plasticiens, ils distillent la technologie numérique pour en faire ressortir des essences de rêve et de poésie. Ils développent la notion d’interactivité, par laquelle l’œuvre existe et évolue grâce aux relations corporelles et sociales des spectateurs. Ils réalisent d’étonnantes hybridations entre technologies et éléments vivants ou naturels (végétaux, humains, eau, bois, pierres…).
Calice est une oeuvre solaire climatique sonore interactive et sensible. Elle résonne selon les rayons du soleil directs qui la traversent. Elle fait écho à son environnement en interprétant l’énergie du soleil et à ses variations d’intensité. Cette installation propose de créer un dialogue et une rencontre sensible entre végétal, animal et minéral dont les formes se répondent, se côtoient, se mélangent, interfèrent.
Scenocosme réunit Grégory Lasserre et Anaïs met den Ancxt. Artistes plasticiens, ils distillent la technologie numérique pour en faire ressortir des essences de rêve et de poésie. Ils développent la notion d’interactivité, par laquelle l’œuvre existe et évolue grâce aux relations corporelles et sociales des spectateurs. Ils réalisent d’étonnantes hybridations entre technologies et éléments vivants ou naturels (végétaux, humains, eau, bois, pierres…).
Calice est une oeuvre solaire climatique sonore interactive et sensible. Elle résonne selon les rayons du soleil directs qui la traversent. Elle fait écho à son environnement en interprétant l’énergie du soleil et à ses variations d’intensité. Cette installation propose de créer un dialogue et une rencontre sensible entre végétal, animal et minéral dont les formes se répondent, se côtoient, se mélangent, interfèrent.
Scenocosme réunit Grégory Lasserre et Anaïs met den Ancxt. Artistes plasticiens, ils distillent la technologie numérique pour en faire ressortir des essences de rêve et de poésie. Ils développent la notion d’interactivité, par laquelle l’œuvre existe et évolue grâce aux relations corporelles et sociales des spectateurs. Ils réalisent d’étonnantes hybridations entre technologies et éléments vivants ou naturels (végétaux, humains, eau, bois, pierres…).
Calice est une oeuvre solaire climatique sonore interactive et sensible. Elle résonne selon les rayons du soleil directs qui la traversent. Elle fait écho à son environnement en interprétant l’énergie du soleil et à ses variations d’intensité. Cette installation propose de créer un dialogue et une rencontre sensible entre végétal, animal et minéral dont les formes se répondent, se côtoient, se mélangent, interfèrent.
Scenocosme réunit Grégory Lasserre et Anaïs met den Ancxt. Artistes plasticiens, ils distillent la technologie numérique pour en faire ressortir des essences de rêve et de poésie. Ils développent la notion d’interactivité, par laquelle l’œuvre existe et évolue grâce aux relations corporelles et sociales des spectateurs. Ils réalisent d’étonnantes hybridations entre technologies et éléments vivants ou naturels (végétaux, humains, eau, bois, pierres…).
Calice est une oeuvre solaire climatique sonore interactive et sensible. Elle résonne selon les rayons du soleil directs qui la traversent. Elle fait écho à son environnement en interprétant l’énergie du soleil et à ses variations d’intensité. Cette installation propose de créer un dialogue et une rencontre sensible entre végétal, animal et minéral dont les formes se répondent, se côtoient, se mélangent, interfèrent.
Originaire de Roubaix, Capucine Desoomer, artiste plasticienne, a réalisé ses études aux Beaux-Arts de Dunkerque et au centre d’Art et Industrie de Tourcoing. Son travail artistique s’épanouit principalement dans l’expérimentation en tout genre, tant au niveau de la démarche que lors de la réalisation. Elle cultive un certain lâcher prise et laisse une part importante à l’improvisation dans la création. Elle tente de n’imposer aucune règle, sans trame ni chaîne, et souhaite vivement l’appropriation des oeuvres par les spectateurs à tous les niveaux.
TRombes est une installation textile en lycra extensible tendu. Montée sur châssis maintenu aux arbres, chaque trombe (cône en tissu) est mise en tension de la berge d’en face. Du carré au cylindre, de la rondeur à la pointe, tRombes part de l’angle en passant par la courbe pour mourir en pique. Entre pointe et douceur, tRombes fait saillie de son châssis, comme une piqûre de rappel. Cette installation rappelle les bouches de drainage, les jets d’eau, illustrant les écoulements, les débordements, les lances, aiguilles, les dérèglements, les transmissions…
Originaire de Roubaix, Capucine Desoomer, artiste plasticienne, a réalisé ses études aux Beaux-Arts de Dunkerque et au centre d’Art et Industrie de Tourcoing. Son travail artistique s’épanouit principalement dans l’expérimentation en tout genre, tant au niveau de la démarche que lors de la réalisation. Elle cultive un certain lâcher prise et laisse une part importante à l’improvisation dans la création. Elle tente de n’imposer aucune règle, sans trame ni chaîne, et souhaite vivement l’appropriation des oeuvres par les spectateurs à tous les niveaux.
TRombes est une installation textile en lycra extensible tendu. Montée sur châssis maintenu aux arbres, chaque trombe (cône en tissu) est mise en tension de la berge d’en face. Du carré au cylindre, de la rondeur à la pointe, tRombes part de l’angle en passant par la courbe pour mourir en pique. Entre pointe et douceur, tRombes fait saillie de son châssis, comme une piqûre de rappel. Cette installation rappelle les bouches de drainage, les jets d’eau, illustrant les écoulements, les débordements, les lances, aiguilles, les dérèglements, les transmissions…
Originaire de Roubaix, Capucine Desoomer, artiste plasticienne, a réalisé ses études aux Beaux-Arts de Dunkerque et au centre d’Art et Industrie de Tourcoing. Son travail artistique s’épanouit principalement dans l’expérimentation en tout genre, tant au niveau de la démarche que lors de la réalisation. Elle cultive un certain lâcher prise et laisse une part importante à l’improvisation dans la création. Elle tente de n’imposer aucune règle, sans trame ni chaîne, et souhaite vivement l’appropriation des oeuvres par les spectateurs à tous les niveaux.
TRombes est une installation textile en lycra extensible tendu. Montée sur châssis maintenu aux arbres, chaque trombe (cône en tissu) est mise en tension de la berge d’en face. Du carré au cylindre, de la rondeur à la pointe, tRombes part de l’angle en passant par la courbe pour mourir en pique. Entre pointe et douceur, tRombes fait saillie de son châssis, comme une piqûre de rappel. Cette installation rappelle les bouches de drainage, les jets d’eau, illustrant les écoulements, les débordements, les lances, aiguilles, les dérèglements, les transmissions…
Originaire de Roubaix, Capucine Desoomer, artiste plasticienne, a réalisé ses études aux Beaux-Arts de Dunkerque et au centre d’Art et Industrie de Tourcoing. Son travail artistique s’épanouit principalement dans l’expérimentation en tout genre, tant au niveau de la démarche que lors de la réalisation. Elle cultive un certain lâcher prise et laisse une part importante à l’improvisation dans la création. Elle tente de n’imposer aucune règle, sans trame ni chaîne, et souhaite vivement l’appropriation des oeuvres par les spectateurs à tous les niveaux.
TRombes est une installation textile en lycra extensible tendu. Montée sur châssis maintenu aux arbres, chaque trombe (cône en tissu) est mise en tension de la berge d’en face. Du carré au cylindre, de la rondeur à la pointe, tRombes part de l’angle en passant par la courbe pour mourir en pique. Entre pointe et douceur, tRombes fait saillie de son châssis, comme une piqûre de rappel. Cette installation rappelle les bouches de drainage, les jets d’eau, illustrant les écoulements, les débordements, les lances, aiguilles, les dérèglements, les transmissions…
Mathieu Boudeulle, artiste plasticien, travaille autour du concept de labyrinthe mental dans une pratique qui allie la peinture, le façonnage de formes ou encore la mise en volume. La nature est toujours au cœur de sa vie, de ses intérêts et de son inspiration tant pour ses créations que ses projets auprès des publics.
Camille Pisson est dans un processus de recherche-création autour de ce projet de signalétique sensible dans le cadre de son mémoire de Master 2 – Sciences et Cultures du visuel. Passionnée par les récits de lieux et de personnes, sa pratique artistique passe par le found footage.
Le duo propose une nouvelle signalétique, participative et sensible sur la chaîne des Lacs. Son but est de solliciter les 5 sens et de restituer l’histoire du lieu, ses usages, les expériences et les récits de ses usagers.
Mathieu Boudeulle, artiste plasticien, travaille autour du concept de labyrinthe mental dans une pratique qui allie la peinture, le façonnage de formes ou encore la mise en volume. La nature est toujours au cœur de sa vie, de ses intérêts et de son inspiration tant pour ses créations que ses projets auprès des publics.
Camille Pisson est dans un processus de recherche-création autour de ce projet de signalétique sensible dans le cadre de son mémoire de Master 2 – Sciences et Cultures du visuel. Passionnée par les récits de lieux et de personnes, sa pratique artistique passe par le found footage.
Le duo propose une nouvelle signalétique, participative et sensible sur la chaîne des Lacs. Son but est de solliciter les 5 sens et de restituer l’histoire du lieu, ses usages, les expériences et les récits de ses usagers.
Mathieu Boudeulle, artiste plasticien, travaille autour du concept de labyrinthe mental dans une pratique qui allie la peinture, le façonnage de formes ou encore la mise en volume. La nature est toujours au cœur de sa vie, de ses intérêts et de son inspiration tant pour ses créations que ses projets auprès des publics.
Camille Pisson est dans un processus de recherche-création autour de ce projet de signalétique sensible dans le cadre de son mémoire de Master 2 – Sciences et Cultures du visuel. Passionnée par les récits de lieux et de personnes, sa pratique artistique passe par le found footage.
Le duo propose une nouvelle signalétique, participative et sensible sur la chaîne des Lacs. Son but est de solliciter les 5 sens et de restituer l’histoire du lieu, ses usages, les expériences et les récits de ses usagers.
Frédérique Rheims, artiste pluridisciplinaire, passant de la sculpture céramique aux installations de Land Art. Il est question de métamorphose et de transformation dans son travail artistique, il s’agit d’une quête de l’imprévu et de l’impermanence, de la vérité profonde au-delà de la conscience de soi.
Sophie Renard, artiste céramiste travaille l’argile et la porcelaine. Elle s’intéresse au corps dans ses créations. Dans sa pratique, elle aime jouer avec cette matière, la suivre, découvrir avec elle d’autres chemins et lui donner corps.
Pour l’édition Entre-lacs, ce duo d’artistes propose une rencontre avec Les esprits de l’eau, petits êtres malicieux, invisibles au monde des visibles. Ces esprits joueurs jaillissent de l’eau, recouverts de vase et de terre pour se dévoiler vivants. Ils sont travaillés avec la terre de la chaîne des lacs. Cette installation soulève des questions universelles et tente d’explorer le lien avec l’invisible. Elle tente de nous relier à la tradition de l’art primitif et tribal : des formes massives et un travail de surface brut.
En lien avec la saison culturelle Utopia par Lille3000, les élèves de 35 classes des écoles environnantes ont réalisé à l’encre de chine des dessins sur la thématique Nature Enchantée. L’ensemble des productions donne lieu à une installation collective en immersion directe dans les sous-bois de la chaîne des lacs.
Un remerciement tout particulier à l’ensemble des élèves qui ont participé à cette création unique.
En lien avec la saison culturelle Utopia par Lille3000, les élèves de 35 classes des écoles environnantes ont réalisé à l’encre de chine des dessins sur la thématique Nature Enchantée. L’ensemble des productions donne lieu à une installation collective en immersion directe dans les sous-bois de la chaîne des lacs.
Un remerciement tout particulier à l’ensemble des élèves qui ont participé à cette création unique.
En lien avec la saison culturelle Utopia par Lille3000, les élèves de 35 classes des écoles environnantes ont réalisé à l’encre de chine des dessins sur la thématique Nature Enchantée. L’ensemble des productions donne lieu à une installation collective en immersion directe dans les sous-bois de la chaîne des lacs.
Un remerciement tout particulier à l’ensemble des élèves qui ont participé à cette création unique.
En lien avec la saison culturelle Utopia par Lille3000, les élèves de 35 classes des écoles environnantes ont réalisé à l’encre de chine des dessins sur la thématique Nature Enchantée. L’ensemble des productions donne lieu à une installation collective en immersion directe dans les sous-bois de la chaîne des lacs.
Un remerciement tout particulier à l’ensemble des élèves qui ont participé à cette création unique.